J’utilise enfin Adobe Lightroom pour classer mes photos.
Je vous en parlais dans deux billets de blog : jusqu’à présent, je classais mes photos «à la main». J’avais cette intuition que Lightroom allait être un outil parfaitement adapté à mes besoins et à la manière dont j’organise mon travail. Le seul problème est que, bien souvent, procédé à un changement demande des efforts.
- Il faut du temps pour mettre en place le changement.
- Il faut du temps pour s’adapter à ce changement.
Pour être tout à fait précis, j’utilise Adobe Lightroom Classic. Il m’aura fallut plus d’une semaine pour transférer ma photothèque dans un catalogue Lightroom.
Mon organisation Lightroom
Lors de l’importation de photos dans Lightroom, les fichiers sont classer dans des dossiers datés du jour de la prise de vue (AAAA-MM-JJ), eux-même classés dans un dossier pour l’année (AAAA).
Dans Lightroom, j’ai un ensemble de collection par thème (les gros événements, les petits événements, ce qui concerne uniquement l’interne…), et dans tous ensembles de collections, j’ai des sous-ensembles année, avec finalement les sous-ensembles mois qui contienne les collections.
Ces collections sont les sujets de ma prise de vue (le nom de l’événement, le nom de la personne dont j’ai tiré le portrait…)
Les plus de Lightroom
Je ne vais pas parler ici du développement des photos.
Il est possible de mettre des étiquettes sur les photos. Je peux par exemple décidé de passer toutes mes photos et de mettre une étiquette chat sur toutes celles ou apparait un chat. Ainsi, en faisant une recherche avec le mot-clé chat, je retrouve toutes mes photos de chat.
Lightroom intègre un détecteur de visage, qu’il essaie de reconnaître. Comme pour le chat, une fois que tous les visages important ont été identifiés, je peux facilement rechercher une personne que j’aurai prise en photo.
Pourquoi le transfert à pris du temps
Vous vous en doutez surement, mais ce n’est pas l’importation qui à durer cinq jours. Quelques minutes tout au plus ont suffit. À vrai dire, même le tri dans mes ensembles et sous-ensembles de collections n’aura pas pris de tant de temps.
Deux choses ont été très chronophage.
La première, ça aura été de valider tous les visages des personnes dont j’ai souvent besoin de photos.
La seconde, supprimer toutes les photos qui ne servent à rien : les photos floues, les photos prisent cinq fois par sécurité, et les photos dont objectivement je ne me servirai jamais.
Et maintenant ?
Maintenant que c’est mis en place, c’est beaucoup plus agréable de travailler sur la photothèque. Avant, c’était une corvée de devoir trier via le Finder les photos de la carte mémoire. Aujourd’hui, ça ne l’est plus.
Je ne vois à ce jour que deux inconvénients, qui sont mineurs pour moi.
Le lancement et la fermeture de Lightroom ne sont pas instantanés. Ça demande un peu plus de temps que l’ouverture et la fermeture d’un explorateur de fichier. On parle en minutes, voire plutôt en secondes. Mais c’est du temps en plus, à ajouter au temps d’ajout d’étiquettes et autres manipulation à l’intérieur de l’application.
Lightroom est payant. C’est un inconvénient qui est transparent pour moi car mon abonnement Creative Cloud est fourni par mon employeur.